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Paru dans le magazine FUSIONS de l’UIMM : accompagner la transition énergétique des navires

Barillec Marine travaille avec les chantiers navals et les armateurs à la conception, la fabrication, l’installation et la maintenance de systèmes embarqués afin de rendre les navires moins énergivores et moins polluants.

Barillec fabrique des tableaux principaux pour les navires à propulsion classique ou utilisant des énergies plus propres.

Les armateurs sont incités à plus de frugalité

Propulsion hybride, électrique, au gaz naturel liquéfié (GNL), à l’hydrogène…
Barillec Marine ne s’interdit aucune source d’énergie pour réduire les émissions des navires. « Nous cherchons avant tout la bonne solution en fonction des attentes environnementales, du budget et des contraintes techniques de nos clients », souligne Olivier Sanquer, président de la société Barillec et responsable de l’activité marine.
L’électricien naval conçoit, fabrique et installe le système qui permet de gérer l’énergie produite à bord des navires, que ce soit pour des bateaux neufs (auprès de la majorité des chantiers navals français) ou pour le maintien en condition opérationnelle et les améliorations en cours de vie (auprès des propriétaires).

Un bureau d’études renforcé

Pour réussir à proposer un large spectre de solutions pour substituer les moteurs thermiques au diesel par des énergies alternatives, Barillec a musclé son bureau d’études qui compte aujourd’hui une cinquantaine de personnes. Et l’entreprise continue de recruter régulièrement des ingénieurs, des techniciens, des monteurs dans les domaines de l’électrotechnique, l’automatisme ou l’informatique. « Accompagner la transition énergétique est un aspect qui plaît et qui attire les candidats. C’est très enthousiasmant. »
Pour être en adéquation avec ces valeurs, Barillec a également engagé un plan de réduction de l’empreinte environnementale de l’entreprise, avec un objectif de baisse des émissions de 40 % d’ici 2030.

 

Les contraintes réglementaires, économiques ou la conscience environnementale poussent les armateurs à plus de frugalité. La première crise pétrolière, dans les années 1970, a permis de faire un premier pas vers des propulsions plus économes. Mais l’enjeu environnemental ne se pose véritablement qu’à partir des années 2000. Notre premier navire à propulsion hybride diesel électrique date de 2002, le « Diamant », un navire de croisière sur la Seine. Depuis, les projets se sont multipliés. Barillec Marine a travaillé sur la drague au GNL du port de Bordeaux, L’Ostrea, pour un navire de voyage de la compagnie de croisière de luxe Ponant… Actuellement, nous cherchons comment convertir à l’électrique une centaine de bateaux de la Communauté portuaire de Paris.

OLIVIER SANQUER

Président, BARILLEC